Marilyne Calandreau, DIU Soins palliatifs pédiatriques
- juin, 2018
Maintien au domicile de l’enfant, en fin de vie d’une pathologie maligne, en Île- de-France
Extrait de l'édito
« Le meilleur lieu pour la fin de vie et la mort, n’est pas défini par ses murs : c’est l’endroit où l’échange reste possible »
Au sommaire
Ainsi, outre la question du lieu, se pose avant tout la question d’avoir le choix. « Le retour à domicile est possible, il est peut-être même souhaitable, mais plus que la question du lieu importe à notre sens la possibilité du choix »
Dossier
Etude rétrospective, des dossiers médicaux des enfants suivis en pédiatrie à Curie, décédés des suites de leur pathologie maligne, années 2016 et 2017.